I wanted to take a moment to share a quick to execute social studies lesson that gives the students an opportunity to share their learning in a creative way and embody their learning. The lesson is directed for 5th and 6th grade learners, and is presented in French. This lesson went well during my practicum and I’m excited to use it again in the future if given the opportunity.
The lesson required the teacher to read a brief history of the Acadian people (which divides into 5 paragraphs). Then, the class is divided into 5 groups, with each group receiving a paragraph. The group creates a thirty second skit to represent the period of Acadian history assigned to them. Following the creation and practice of the skit, the class does a rapid fire group theatre piece where each group performs one after the other with minimal pause.
Some of the outcomes met by this lesson include:
- Sequence objects, images, or events, and recognize the positive and negative aspects of continuities and changes in the past and present (continuity and change)
- Differentiate between intended and unintended consequences of events, decisions, and developments, and speculate about alternative outcomes (cause and consequence)
- Make ethical judgments about events, decisions, or actions that consider the conditions of a particular time and place, and assess appropriate ways to respond (ethical judgement)
- Understand the development and evolution of Canadian identity over time.
This lesson is a great opportunity for meaningful inclusion because the various ways of contribution (reading comprehension, creative input, performance, etc.) allow both variety of information input and information output.
This lesson also endeavors to incorporate the First Peoples Principles of Learning including:
Learning is holistic, reflexive, reflective, experiential, and relational (focused on connectedness, on reciprocal relationships, and a sense of place).
Learning recognizes the role of Indigenous knowledge.
Learning is embedded in memory, history, and story.
Learning requires exploration of one’s identity.
The paragraphs are as follows:
Paragraph 1:
En 1534, pendant le premier de ses trois voyages Ă ce qu’on appelle maintenant le Canada, Cartier rencontre les Mi’kmaq Ă la baie des Chaleurs. 50 ans plus tard, en 1604, les premiers colons arrivent en Mi’kmaqi, ce qu’ils appelleront “l’Acadie.” Les Acadiens font des alliances avec les Mi’kmaq et les MalĂ©cites, et comptent beaucoup sur eux pour leur survie. Les Mi’kmaq et les MalĂ©cites enseignent aux Acadiens comment pĂŞcher, chasser, et survivre en toutes saisons.Â
Paragraph 2:
Par les annĂ©es 1650s, les hostilitĂ©s entre la France et l’Angleterre atteignent un point critique en Acadie. Les Anglais se battent contre les Acadiens et les Mi’kmaq. L’Acadie est Ă©changer entre la France et l’Angleterre plusieurs fois entre 1654 et 1713. Entre-temps, les Acadiens apprennent l’agriculture et dĂ©veloppent une identitĂ© culturelle unique de celle de la France. Ils jouent de la musique avec les cuillères et les fiddles, et ils font des danses gigueuses.
Paragraph 3:
En 1713, l’Acadie est cédé à l’Angleterre par la France dans le traité d’Utrecht. Les Acadiens et les Mi’kmaq n’ont aucun contrôle dans la décision, bien que les Mi’kmaq n’ont même pas cédé leurs territoires à la France. En 1749 les Acadiens sont déportés vers plusieurs directions dans le grand dérangement. Les parents sont séparés de leurs enfants et les uns des autres, et les villages sont brûlés.
Paragraph 4:
Les Acadiens continuent Ă rĂ©sister et il y en a des Acadiens qui se cachent dans les communautĂ©s Mi’kmaq ou qui retournent en Nouvelle Ecosse par pied dans les bois des Ă©tats-unis. Encore d’autres Acadiens Ă©tablissent des communautĂ©s en Louisiane. Bien que les Acadiens diasporiques ont des cultures spĂ©cifiques, ils partagent encore la musique, la nourriture, et les racines de leurs langues.Â
Paragraph 5:
Aujourd’hui, les Acadiens continuent de parler leur langue (unique du Français en France et au Québec), de jouer de la musique et de cuisiner leurs aliments traditionnels. Quelques aliments populaires sont le Fricot (un soupe), les crêpes de patates, et la tortière (une tarte de viande). Les communautés Acadienne et Cajun sont fortes en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick, en Gaspésie et en Louisiane.
I hope this lesson serves as an example of work I enjoyed putting together, that was successful in execution, and that made learning experiential and embodied.
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